mercredi 26 mars 2008

Sans discrimination, sans discernement ni distance, simplement lire

Bien sûr, après y'a eu Dumas, Pagnol et Margaret Mitchell...
Giono, Cohen, Saint-Exupéry, pêle-mêle.
J'ai tout oublié ou presque, sauf que les petites briques de mon cerveau ont tout aggloméré.

Je choisissais les livres au poids, à l'épaisseur. Ce qui explique "Autant et emporte le vent" et "Belle du seigneur" très tôt dans mon tableau de chasse.

Mais aussi Tolkien, les Mazo de la Roche, les Arsène Lupin que nous avions à la maison, dans la salle de jeux réservée aux enfants et aux livres. Et au 1er étage, chez mes grands-parents, tous les volumes oubliés qui sont partis chez Emmaüs, achetés au poids et reliés par mon grand-père, à ses heures perdues... pas pour tout le monde.

Je n'ai pas pas photo de cette pièce en entresol, où j'enseignais à ma première génération d'élèves : mon frère et ma soeur, respectivement 8 et 5 ans plus jeunes. Les murs en étaient tapissés, de livres. Je ne connais pas plus belle déco.

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